mercredi 30 septembre 2009

Le grand con avec un drapeau rouge



Ébouriffante illustration du blogueur gauchiste de référence fachoïde trotskyte à la française qui ne sait plus où donner du groin pour tenter frénétiquement de se faire mousser, tare intellectuelle ambulante dont le demi-cerveau n'en finit plus de clapoter contre ses parois crâniennes en produisant des floc-floc de liquide cépahalo-rachidien anémié à force de probables tares congénitales - qui font soupçonner un lourd héritage consanguin dans sa famille -, créature au physique aussi gras et gluant que la purée froide idéologique qui s'échappe malencontreusement d'une bouche qu'on rêverait de coudre avec un fil de pêche et une très grosse aiguille, nazillon hystérique dans la gauche lignée des Ernst Röhm et autres "socialistes" nationalistes crapoteux, tous incapables de penser une opposition autrement que physiquement mais qui rêvent de devenir journaliste ou chroniqueur adulé pour emballer de la poulette alors que le manque de sexe se fait cruellement sentir - puisque le redskin est fondamentalement gay, c'est dans sa nature profonde -, encore plus ridicule de populisme achevé que toute la rédaction des étrons gauchistes mécaniques comme "Rien N'est A Garder" ou même Siné Hebdo dans ses meilleures pages (ne cherchez pas, y'en a pas), tout aussi demeuré et baveux qu'un Alain Krivine - même si ce dernier est atteint de rares pathologies mentales qui devraient charitablement lui valoir de massives injections de neuroleptiques directement dans la jugulaire, avant que de le jeter dans une jolie cellule dont il pourra bouffer les murs en hululant que les néolibéraux lui grouillent sous la peau -, parfait produit de la pensée marxiste qui passe sont temps à verser toutes les larmes de son gros corps mou sur l'immobilisme à la française et la nécessité d'une révolution qui ne vient pas, d'une communication qui ferait appel au cœur autant qu'à la raison et avec les poings ou deux kilomètres de bourdieuseries mal digérées et trop vite vomies, Thierry est Le Blogueur Le Plus Ridicule De La Bobosphère et n'a t-on pas tout dit en le qualifiant ainsi ?

Élevé au lait tourné du trotskysme le plus poussérieux, Thierry M veut voir du collectif partout. Bien, le groupisme. Mal, le zindividu. Et comme tout de même le collectivisme c'est un peu, un tout petit peu, risible - vu que c'est totalement et rédhibitoirement du passé - il trépigne ici, bille en tête (c'est la seule chose qui y traîne) que tout doit être fait pour que les patrons (méchants) payent très cher, de leur vie s'il le faut, et les ouvriers (gentils) récoltent, dans ce manichéisme un peu touchant d'enfant jamais totalement sorti de l'adolescence et qui manquerait de quelques petites tartes affectueuse, il hurle là que l'état (forcément gentil) doit subvenir à tout, du téton au sapin, et qu'enfin soit reconnu un droit de cuissage pour lui puisque, rappelons-le, ses nombreuses pollutions matinales commencent à revenir cher en lessive.

Car le Thierry n'en finit jamais de vomir à longs jets sur ce qu'il est infoutu de comprendre, et, en bon parasite inapte à vivre sans les béquille étatiques, réclamer à ce système pour lui totalement hermétique des thunes à gros bouillon, bien incapable qu'il est de se démerder tout seul dans le monde normal où les gens ont de vrais jobs à produire quelque chose d'utile (et je ne parle pas d'un blog, hein).

Le communiste, coincé dans un XIXème siècle balzacien d'opérette, a aussi une mémoire très sélective qui lui fait oublier que sa situation - de loser impénitent aux horizons indépassables de plats froids et constipants, et de monacos mal digérés sur des terrasses venteuses de troquets minables - est directement dûe à ses efforts continuels, ainsi qu'à ceux de sa clique boueuse et fripée, à réclamer toujours plus de l'intervention de cet état et de ce système dont ils sont pourtant d'ardents critiques en parfaits hypocrites qu'ils sont.

Non, cela, le troskyste n'en parlera jamais, pas plus qu'il ne mettra en exergue que l'une des raisons majeures de s'infiltrer partout dans le public est une question idéologique : fourrer de la merde dans les têtes des gamins qui ne sont pas encore assez détruits par la propagande des altermondialeux, des gogos écolos qui vendent du vélo du haut de leurs hélicos, des communistes attardés, du facteur collectiviste dont la stratégie politique fait hurler de rire depuis Machiavel jusqu'à Bayrou (c'est dire !) , progressistes champibullés à la Jack Lang ou Fred Mitterrand toujours prêts à aider un violeur de gamines, et autres improbables vieilles merdes syndicales que la France produit par palettes entières.

Si on était un peu méchant, on en rêverait presque de voir Thierry M pendu par les pieds avec son slip kangourou pendant que des écoliers hilares lui jetteraient des cailloux pointus au visage sous l'oeil attendri de leur maîtresse. Mais heureusement, on est dans le camp du Bien, et c'est nous les plus Gentils. On se contentera donc de prendre Thierry M pour ce qu'il est : un grand con qui produit du rouge à l'extérieur. Même si ça, c'est déjà beaucoup, beaucoup trop.

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